SCPI en 2025 : le guide simple pour comprendre ce placement immobilier
Tu veux investir dans l’immobilier, mais sans te soucier de locataires, de travaux ou de gestion ?
Les SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) permettent d’accéder à l’immobilier simplement, à partir de quelques centaines d’euros.
Tu veux investir dans l’immobilier, mais sans te soucier de locataires, de travaux ou de gestion ?
Les SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) permettent d’accéder à l’immobilier simplement, à partir de quelques centaines d’euros.
Mais en 2025, le marché a évolué : rendements, taux, nouvelles tendances… Voici un guide clair et complet pour comprendre les SCPI avant d’investir.
Qu’est-ce qu’une SCPI ?
Une SCPI est une société qui collecte l’argent de nombreux investisseurs pour acheter et gérer un patrimoine immobilier (bureaux, commerces, santé, logements, logistique…).
En échange de ton investissement, tu reçois une part des loyers proportionnelle à ton nombre de parts.
C’est un moyen d’investir dans l’immobilier sans acheter de bien en direct et sans contraintes de gestion.
Exemple simple :
Tu achètes 10 parts d’une SCPI. Celle-ci détient 100 immeubles loués.
Chaque trimestre, tu touches ta part des loyers générés par ces biens.
Pourquoi investir en SCPI en 2025 ?
En 2025, les SCPI attirent de nouveau les épargnants.
Voici les principales raisons qui expliquent ce regain d’intérêt :
1. Les taux d’intérêt redescendent
Après la hausse de 2023-2024, les taux commencent à se stabiliser.
Résultat : le marché immobilier reprend des couleurs, et les SCPI aussi.
2. Un rendement plus stable que les marchés financiers
Malgré la baisse de la valeur de certaines parts, les loyers continuent d’être distribués régulièrement.
Les SCPI offrent ainsi une source de revenus récurrents, même dans un contexte économique incertain.
3. Un placement accessible à tous
Tu peux investir en SCPI à partir de 200 ou 500 € seulement, selon la société de gestion.
Idéal pour débuter dans l’investissement immobilier sans apport important.
Rendement moyen des SCPI en 2025
Le rendement moyen des SCPI en 2024 était d’environ 4,7 %.
En 2025, les nouvelles SCPI plus dynamiques visent entre 6 et 8 %, voire plus pour certaines thématiques à haut potentiel (santé, logistique, énergie).
Mais attention : un rendement élevé = un risque plus élevé.
Toujours vérifier la stratégie et la solidité de la société de gestion.
Les grandes tendances SCPI en 2025
1. Les SCPI thématiques
Ces SCPI se concentrent sur des secteurs porteurs :
Santé et dépendance
Logistique et e-commerce
Immobilier résidentiel
Énergies renouvelables
Leur objectif : allier performance et sens.
2. Les SCPI ISR (Investissement Socialement Responsable)
De plus en plus de SCPI sont labellisées ISR.
Elles intègrent des critères environnementaux et sociaux dans leur gestion.
C’est une tendance forte qui séduit les jeunes investisseurs.
3. Les SCPI européennes
Ces SCPI investissent à l’étranger (Allemagne, Pays-Bas, Espagne, etc.)
Objectif : diversifier le risque et bénéficier d’une fiscalité plus douce.
Les risques à connaître avant d’investir
Même si les SCPI sont simples à comprendre, elles comportent des risques importants à ne pas négliger :
Durée d’investissement longue :
Il faut garder ses parts au moins 8 à 10 ans pour lisser les fluctuations du marché.Liquidité limitée :
Revendre ses parts peut prendre du temps, car il faut trouver un acheteur.Valeur non garantie :
Le prix de la part peut baisser si le marché immobilier corrige.Frais à l’entrée :
En général, 8 à 10 % de frais lors de la souscription, compensés sur le long terme.
Les 5 conseils clés pour bien débuter en SCPI
Diversifie tes placements : choisis plusieurs SCPI avec des stratégies différentes.
Vérifie la société de gestion : privilégie les acteurs reconnus et transparents.
Analyse les rapports annuels : regarde le taux d’occupation, la répartition géographique et sectorielle.
Évite de te précipiter sur le rendement : la régularité et la solidité comptent plus que le chiffre.
Sois patient : les SCPI se valorisent sur le long terme.
Mon avis de conseiller en investissement
En 2025, les SCPI restent un excellent outil pour se constituer un patrimoine, générer des revenus passifs et préparer sa retraite.
Mais il faut sélectionner les bonnes SCPI et adopter une vision long terme.
Si tu veux investir dans une SCPI adaptée à ton profil (rendement, fiscalité, stratégie), le mieux est d’en discuter avec un conseiller en gestion de patrimoine qui t’aidera à faire le bon choix.
Envie d’en savoir plus ?
Je peux t’aider à :
Choisir les meilleures SCPI selon ton profil et ton budget,
Optimiser ta fiscalité,
Et construire une stratégie patrimoniale complète (immobilier, assurance-vie, PER, etc.).
Contacte-moi ici pour un premier échange gratuit et personnalisé.
Où investir dans les obligations d’État en 2025 ?
Les obligations d’État restent l’un des placements les plus populaires pour les épargnants et investisseurs cherchant stabilité et rendement prévisible. En 2025, alors que les taux d’intérêt demeurent élevés et que l’inflation ralentit dans de nombreuses zones, la question se pose : quelles obligations choisir pour allier sécurité et rentabilité ?
Les obligations d’État restent l’un des placements les plus populaires pour les épargnants et investisseurs cherchant stabilité et rendement prévisible. En 2025, alors que les taux d’intérêt demeurent élevés et que l’inflation ralentit dans de nombreuses zones, la question se pose : quelles obligations choisir pour allier sécurité et rentabilité ?
Pourquoi investir dans les obligations d’État ?
Les obligations d’État (ou « emprunts souverains ») sont des titres de créance émis par un pays pour financer ses dépenses publiques. En achetant une obligation, vous prêtez de l’argent à l’État qui s’engage à vous verser des intérêts réguliers (le « coupon ») et à rembourser le capital à l’échéance.
Elles présentent plusieurs avantages :
Sécurité : les États notés AAA ou AA offrent un risque de défaut quasi nul.
Revenus réguliers : idéales pour compléter des revenus ou sécuriser une partie de son patrimoine.
Diversification : elles équilibrent un portefeuille souvent trop centré sur les actions.
Les critères à surveiller
Avant de choisir une obligation, il est essentiel de tenir compte de :
La notation de crédit : un indicateur du risque de non-remboursement (AAA = très sûr).
La maturité : courte (moins de 5 ans), moyenne (5-10 ans), longue (10-30 ans).
Le rendement effectif : à comparer à l’inflation et aux alternatives (livrets, actions).
La devise : investir hors euro peut exposer au risque de change.
Le contexte économique : dette publique, croissance, stabilité politique.
Les meilleures zones pour investir en 2025
1. Zone euro – sécurité et stabilité
Allemagne, Pays-Bas, Autriche : les plus sûres, rendement modeste.
France : compromis intéressant avec un rendement autour de 3,2-3,5 % à 10 ans.
2. Pays développés hors zone euro
États-Unis : les « Treasuries » offrent des taux élevés en 2025 (4-5 % sur 10 ans), mais attention au risque de change.
Canada, Australie : bonnes notes de crédit, rendements compétitifs.
3. Pays émergents – rendement attractif, mais risque élevé
Amérique latine (Mexique, Brésil) ou Europe de l’Est (Pologne, Hongrie) : rendements supérieurs (6-8 %), mais exposition à l’instabilité politique et monétaire.
Quelle stratégie adopter ?
Pour les investisseurs prudents : privilégiez les obligations d’États AAA/AA en zone euro.
Pour un portefeuille équilibré : combinez obligations françaises (10-20 ans) et quelques titres étrangers notés bien.
Pour les profils dynamiques : une petite part en obligations émergentes peut booster le rendement global.
Conclusion
En 2025, les obligations d’État redeviennent particulièrement attractives après plusieurs années de taux faibles. Le choix dépendra surtout de votre tolérance au risque, de votre horizon de placement et de vos objectifs financiers.
Est-ce mieux d’investir en bourse ou dans l’immobilier ?
C’est une question que se posent de nombreux épargnants : faut-il investir en bourse ou dans l’immobilier pour faire fructifier son argent ? La vérité, c’est qu’il n’existe pas de réponse universelle. Tout dépend de votre profil, de vos objectifs et de votre tolérance au risque.
C’est une question que se posent de nombreux épargnants : faut-il investir en bourse ou dans l’immobilier pour faire fructifier son argent ? La vérité, c’est qu’il n’existe pas de réponse universelle. Tout dépend de votre profil, de vos objectifs et de votre tolérance au risque. Voyons ensemble les forces et faiblesses de chaque solution pour vous aider à faire un choix éclairé.
L’investissement en bourse : performance et flexibilité
Les avantages
Performance potentielle élevée : Sur le long terme, les marchés financiers ont historiquement généré entre 6 et 8 % par an en moyenne (notamment via les actions d’entreprises).
Liquidité : Vous pouvez acheter ou vendre vos placements en quelques clics. Si vous avez besoin d’argent, vous n’êtes pas bloqué.
Diversification facile : Avec des ETF ou des fonds, vous pouvez investir dans des centaines d’entreprises à travers le monde avec un seul produit.
Pas de gestion physique : Pas de locataires, pas de travaux, pas de charges à payer.
Les inconvénients
Volatilité : La bourse peut être stressante. Les marchés peuvent perdre -20 % en quelques semaines.
Psychologie : Beaucoup d’investisseurs paniquent lors des baisses et vendent au mauvais moment.
Pas d’effet de levier facile : Sauf à utiliser le crédit (souvent complexe), vous investissez uniquement ce que vous avez.
L’investissement immobilier : stabilité et effet de levier
Les avantages
Effet de levier : Vous pouvez investir avec de l’argent emprunté. Votre locataire rembourse une partie (voire la totalité) du crédit.
Revenus réguliers : Les loyers peuvent constituer un complément de revenu, voire une rente à terme.
Actif tangible : Vous possédez un bien physique, qui peut prendre de la valeur avec le temps.
Fiscalité intéressante : Certains dispositifs (Pinel, LMNP, déficit foncier) permettent de réduire vos impôts.
Les inconvénients
Gestion contraignante : Trouver des locataires, gérer les travaux, payer les charges… Cela demande du temps (ou un gestionnaire).
Moins liquide : Revendre un bien immobilier peut prendre plusieurs mois.
Risque de vacance locative : Un bien vide ne rapporte rien mais coûte toujours.
Concentration du risque : Acheter un seul bien immobilise souvent une grande partie de votre capacité d’investissement.
Alors, que choisir ?
En réalité, la bonne question n’est pas « bourse OU immobilier » mais plutôt « quelle place donner à chacun ».
Si vous recherchez des revenus complémentaires à long terme, l’immobilier locatif est souvent un excellent point de départ grâce à l’effet de levier.
Si vous voulez faire croître votre patrimoine sans vous occuper de gestion, la bourse (via des ETF) est une solution simple et efficace.
Et pour une stratégie équilibrée, combiner les deux permet de profiter du meilleur de chaque monde : la stabilité de l’immobilier et la performance de la bourse.
En résumé : il n’existe pas de solution universelle. Votre choix dépend de votre horizon, de votre tolérance au risque, de votre envie (ou non) de gérer un bien et de votre capacité à emprunter.
Investissements responsables et nouvelles solutions financières : PEAC, label ISR et crédit crypto-actifs
Le monde de la finance évolue rapidement, porté par des enjeux climatiques, sociétaux et technologiques majeurs. En 2025, trois innovations attirent particulièrement l’attention : le Plan d’Épargne Avenir Climat (PEAC), le label ISR qui gagne en maturité, et le crédit lombard adossé aux crypto-actifs.
Introduction
Le monde de la finance évolue rapidement, porté par des enjeux climatiques, sociétaux et technologiques majeurs. En 2025, trois innovations attirent particulièrement l’attention : le Plan d’Épargne Avenir Climat (PEAC), le label ISR qui gagne en maturité, et le crédit lombard adossé aux crypto-actifs. Ces dispositifs traduisent une volonté commune : investir de manière responsable, tout en diversifiant les leviers de financement.
Le PEAC : une épargne au service de la transition écologique
Lancé en 2024, le Plan d’Épargne Avenir Climat (PEAC) cible les jeunes de moins de 21 ans et vise à orienter l’épargne vers des projets bas-carbone. Accessible avec un plafond de versement limité, il combine une logique éducative (sensibiliser les nouvelles générations à l’investissement durable) et une finalité stratégique : canaliser l’épargne vers la décarbonation de l’économie. Pour les familles, c’est aussi une solution complémentaire aux livrets classiques, avec un rendement à long terme indexé sur des projets verts.
Le label ISR : un standard de l’investissement durable
Depuis quelques années, le label ISR (Investissement Socialement Responsable) s’est imposé comme un gage de qualité et de transparence pour les fonds financiers. En 2025, il représente plus de 800 milliards d’euros d’encours, regroupant près de 940 fonds. Ce label repose sur des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Pour les investisseurs, il constitue un repère essentiel pour sélectionner des placements alignés sur des valeurs éthiques, tout en recherchant la performance.
Le crédit lombard et les crypto-actifs : une révolution réglementée
Traditionnellement réservé aux patrimoines financiers importants, le crédit lombard consiste à emprunter en mettant en garantie un portefeuille d’actifs. Depuis avril 2025, une nouveauté bouleverse ce mécanisme : la possibilité de nantir des crypto-actifs, dans un cadre juridique précis. Cette évolution offre aux détenteurs de cryptomonnaies un accès inédit à la liquidité, sans avoir à céder leurs actifs numériques. Toutefois, cette solution reste risquée en raison de la volatilité des marchés crypto et nécessite une gestion prudente.
Conclusion
Entre le PEAC tourné vers la jeunesse et la transition écologique, le label ISR devenu incontournable, et le crédit crypto-actifs qui ouvre de nouvelles perspectives de financement, les solutions financières de 2025 traduisent un double mouvement : responsabilité et innovation. Les investisseurs avertis sauront tirer parti de ces outils pour bâtir des stratégies diversifiées, durables et adaptées aux enjeux de demain.
5 erreurs fréquentes des investisseurs débutants (et comment les éviter)
Investir peut être une aventure passionnante, mais pour de nombreux débutants, cela peut également conduire à des erreurs coûteuses. Dans cette édition, nous allons passer en revue cinq erreurs fréquentes que font les investisseurs novices et, surtout, comment les éviter pour maximiser vos chances de succès.
Investir peut être une aventure passionnante, mais pour de nombreux débutants, cela peut également conduire à des erreurs coûteuses. Dans cette édition, nous allons passer en revue cinq erreurs fréquentes que font les investisseurs novices et, surtout, comment les éviter pour maximiser vos chances de succès.
1. Investir sans éducation préalable
Erreur : Beaucoup d’investisseurs débutants se lancent sur le marché sans avoir pris le temps d’apprendre les bases de l’investissement. Cela peut entraîner des décisions impulsives et non informées.
Solution : Prenez le temps de vous éduquer sur les principes fondamentaux de l’investissement. Lisez des livres, suivez des cours en ligne, et informez-vous sur les différents types d’actifs (actions, obligations, immobilier, etc.). Une bonne compréhension vous permettra de faire des choix éclairés.
2. Négliger la planification financière
Erreur : Ne pas établir de plan financier est une autre erreur répandue. Les investisseurs débutants investissent souvent sans une vision claire de leurs objectifs à long terme.
Solution : Définissez vos objectifs financiers (épargne pour la retraite, achat d’une maison, études des enfants, etc.) et développez un plan d’investissement adapté. Cela vous aidera à choisir les bons produits et à rester concentré sur vos priorités.
3. Laisser les émotions guider les décisions
Erreur : Les émotions comme la peur et la cupidité peuvent influencer fortement les décisions d’investissement, entraînant des achats ou des ventes impulsifs.
Solution : Apprenez à reconnaître vos émotions lors des fluctuations du marché. Établissez des règles claires concernant vos investissements et essayez de suivre une approche rationnelle. Envisagez de travailler avec un conseiller financier pour vous aider à garder le cap.
4. Ignorer la diversification
Erreur : Investir toute sa fortune dans une seule action ou un seul secteur peut s’avérer risqué. De nombreux débutants tombent dans le piège de la "concentration".
Solution : Diversifiez votre portefeuille en investissant dans différents secteurs, types d’actifs et zones géographiques. Cela permet de réduire le risque et d’augmenter les chances de rendement sur le long terme.
5. Ne pas suivre ses investissements
Erreur : Une fois qu’ils ont investi, certains investisseurs débutants adoptent une approche passive, négligeant de suivre la performance de leurs actifs.
Solution : Établissez un calendrier pour revoir régulièrement votre portefeuille afin d’évaluer l’évolution de vos investissements. Cela vous permet de réajuster votre stratégie si nécessaire et de rester au courant des tendances du marché.
Conclusion
Éviter ces erreurs courantes peut vous aider à devenir un investisseur plus avisé et à bâtir un patrimoine solide sur le long terme. Rappelez-vous que l’investissement est un marathon, pas un sprint. Patience, diligence et éducation sont vos meilleurs alliés dans cette démarche.

